5 août 2009

Petits gigolos…Attention !

By Le briseur de mythes

 Un homme marié du Wisconsin qui désirait passer du bon temps avec sa nouvelle conquête s’est rendu au motel avec cette dernière.

Ce dernier a eu le réveil brutal lorsqu’il a constaté qu’il avait le pénis bien collé sur le ventre avec de la colle  » crazy glue. »

L’homme a dû se résigner à se rendre à l’hôpital pour se faire traiter et raconter son aventure. 

Sa fierté masculine a été lourdement ébranlée. 

Désirant se livrer à des jeux sexuels, il s’est laissé ligoter et bander les yeux dans l’attente d’un bon massage, espérant une détente agréable.

Il s’est retrouvé avec le machin de ses exploits et dont la fierté n’est mesurable, bien collé sur son ventre.

Bien attaché sur son lit, incapable de se sortir de cette position inconfortable, il trouva enfin un moyen de se libérer en rongeant ses liens.

Après plusieurs heures d’effort, il a pu ainsi retrouver sa liberté.

Ne pouvant déprendre son pénis bien collé, inquiet et surtout malheureux, un seul choix déchirant s’imposait, se rendre à l’hôpital et dire la vérité quoique pas évident dans une situation comme celle-là. 

Ensuite, il a fait appel aux policiers pour retrouver les coupables. 

Quatre femmes avaient comploté de lui faire ce tour pour l’humilier pour des raisons obscures.

Mais ce qui semble probable, c’est que son épouse est dans le coup. On veut lui donner une bonne leçon et le corriger de sa mauvaise habitude. 

Elles ont réussi sur toute la ligne parce que notre gigolo a dû expliquer aux policiers et aux médecins les détails de sa triste aventure.

Voici comment il raconte son histoire. 

Après l’avoir frappé au visage, Mme Zieman a collé le pénis de l’homme avec de la crazy glue avant l’arrivée des 3 autres femmes.

Notre Don Juan a raconté aux policiers avoir été menacé avec une arme de poing.

Quand il s’est mis à crier, elles se sont enfuies avec sa voiture, son portefeuille et son téléphone portable.

Il dit qu’il a pu se libérer en grugeant ses liens et ainsi sortir de sa fâcheuse position. 

Pour ces dames qui avaient réussi leur coup, l’histoire n’est pas finie, elles se retrouvent devant le tribunal, accusées de voies de fait, de séquestration et de vol.

Elles sont passibles d’emprisonnement.

Pour obtenir des détails plus croustillants sur cette affaire, qui n’ont pas été mentionnés publiquement, il faut s’adresser au tribunal de Calumet au Wisconsin. 

Peut-on croire une telle aventure ?