La poupée de chiffons Ann…
Voici les origines et les explications pour mieux comprendre la création de cette poupée amorphe, faible et dont le corps est mou.
Cette histoire se déroule autour des années 20, cette poupée au visage tuméfié par les cicatrices de la variole décrit bien l’époque ou celle-ci faisait de nombreuses victimes car les vaccins ne donnaient pas toujours de bons résultats.
A cette époque, on pouvait vacciner les enfants dans les écoles sans demander la permission des parents. On pouvait inoculer les enfants à plusieurs reprises pour la même maladie sans que les parents puissent être avertis de cette vaccination.
La petite Marcella est la fille d’un célèbre écrivain et auteur à succès. Ce dernier travaillait pour un magazine qui faisait la promotion de l’entraînement physique et de ses bienfaits.
Après avoir reçu son vaccin à l’école, on se rend compte que la petite perd lentement l’appétit. On remarque que la fièvre s’installe et elle manque d’énergie car elle se sent toujours fatiguée.
Ses parents ne connaissant pas les effets secondaires de ce vaccin, avertissent les autorités qu’il est dorénavant plus question de vacciner l’enfant quelle qu’en soit la raison.On pense que c’est la cause de cette maladie.
La santé de la petite continue à décliner, les parents s’inquiètent car elle a un affaissement musculaire, devient amorphe et les signes de vitalité baissent. Étrangement, elle ressemble à une poupée de chiffons tant la faiblesse est profonde.
Quelques semaines plus tard, Marcella meurt, une mort lente et atroce.
Plusieurs médecins étudient la cause du décès et confirment que sa mort est le résultat du vaccin qui aurait déclenché un empoisonnement. Ces derniers sont d’avis que c’est une erreur professionnelle et inacceptable.
Un seul médecin niait la responsabilité du vaccin. On s’est rendu compte que celui-ci était à la tête du conseil scolaire et était un ardent défenseur de la vaccination.
Peu de temps après la mort de sa fille, le père est invité à créer une illustration pour accompagner un article, «Les vaccins ont tué mes deux sœurs. » La bande dessinée est habile, efficace, et rejoint les lecteurs de la revue. Toutefois, ils ne sont pas préparés à la note qu’il a joint à son dessin. Elle se lisait comme suit:
Ayant récemment perdu notre fille unique par le biais de la vaccination (à l’école publique, sans notre consentement), vous ne pouvez vous imaginer toute la tristesse qui nous envahit, mon épouse et moi. Sur les sept médecins appelés à se pencher sur le cas, six se sont prononcés en précisant qu’il y avait eu négligence et qu’on avait affaire à une erreur professionnelle. Le septième n’a pas osé commenter car il était à la tête du conseil scolaire et un ardent défenseur de la vaccination. »
Peu de temps après la mort de Marcella, Le papa a crée une poupée très différente de celle qui était la plus populaire à l’époque, soit rigide et débordante de santé.
Plutôt que de créer une poupée qui émet un message de santé, d’énergie et de joie, pour rendre hommage à sa fille unique, il conçoit une poupée malade. terne et sans vie.
Bien que la plupart des gens n’ont aucune connaissance de la tragique inspiration derrière cette chère poupée jouet, Ann symbolise un siècle d’histoire ou des enfants ont connu une mort tragique causée par des vaccins dont les effets pervers n’avaient pas été calculés.
Au coucher, quand nous cajolons notre douce poupée, nous ne connaissons pas tous, le message véhiculé par le concepteur.
Cette histoire a-t-elle donné l’inspiration nécessaire pour inventer cette poupée ?
D’après ce qu’on raconte dans ce texte, je trouve que c’est très plausible que cette poupée ait été le fruit de ce triste évènement.